Carlo Acutis aimait beaucoup Notre Dame de Pompéi, il la priait et obtenait par elle de nombreuses grâces. C’est aussi à Notre Dame de Pompéi que le premier dimanche d’octobre, quelques jours avant sa mort, Carlo avait prié la supplication à Notre Dame de Pompéi. Il avait demandé la grâce de devenir un saint, de lui éviter le purgatoire et de le conduire directement au paradis après la mort.

Cette neuvaine est assez courte (15/20 min), vous pouvez donc la dire tous les jours du 9 au 17 mai pour accompagner les premiers pas de notre nouveau cher pape Léon XIV.

 


Neuvaine d’imploration à Notre Dame du Rosaire de Pompéi

Ô Sainte Catherine de Sienne, ma protectrice et maîtresse, toi qui assistes du ciel tes dévots quand ils récitent le Rosaire de Marie, assiste-moi en ce moment et daigne réciter avec moi la Neuvaine à la Reine du Rosaire, qui a placé le trône de ses grâces dans la vallée de Pompéi, afin qu’à travers ton intercession, j’obtienne la grâce désirée. Amen.
V. Ô Dieu, viens à mon secours.
R. Seigneur, viens vite à mon aide.
Gloire au Père, au Fils et au Saint-Esprit. Comme il était au commencement, maintenant et toujours, dans les siècles des siècles. Amen.

I. – O Vierge Immaculée et Reine du Saint Rosaire,
Toi qui, en ces temps de foi mourante et de péché triomphant, as voulu établir ton siège de Reine et de Mère sur l’antique terre de Pompéi, séjour des morts païens. De ce lieu où l’on adorait les idoles et les démons, Tu répands aujourd’hui, en tant que Mère de la divine grâce, les trésors de tes miséricordes célestes. Ô Marie, toi qui règnes avec bonté, tourne vers moi tes yeux pleins de pitié et aie pitié de moi qui ai tant besoin de ton secours. Montre-toi à moi aussi, comme à tant d’autres, véritable Mère de miséricorde, tandis que je te salue de tout mon cœur et t’invoque, ma Souveraine et Reine du Saint Rosaire.
Salut, Reine, Mère de miséricorde ; vie, douceur et espérance notre, salut. Nous venons à toi, exilés fils d’Ève ; vers toi nous soupirons, gémissant et pleurant dans cette vallée de larmes. Prends donc pitié de nous, ô Avocate, tourne vers nous tes yeux pleins de miséricorde et montre-nous, après cet exil, Jésus, le fruit béni de ton sein, ô clémente, ô pieuse, ô douce Vierge Marie.

II. – Prosternée aux pieds de ton trône,
O grande et glorieuse Dame, mon âme te vénère entre gémissements et souffrances, dans lesquelles elle est oppressée au-delà de toute mesure. Dans ces angoisses et troubles où je me trouve, je lève les yeux confiants vers toi, qui as daigné choisir pour ta demeure les campagnes de pauvres et abandonnés paysans. Et là, devant la ville et l’amphithéâtre où règnent silence et ruine, Tu, comme Reine des Victoires, as élevé ta voix puissante pour appeler de toute l’Italie et du monde catholique tes fils dévoués à t’ériger un Temple. Ô Marie, fais miséricorde à cette âme humiliée dans la boue. Prends pitié de moi, ô Dame, prends pitié de moi qui suis rempli de misères et d’humiliations. Toi qui es l’extermination des démons, défends-moi contre ces ennemis qui m’assiègent. Toi qui es l’Aide des chrétiens, tire-moi de ces tribulations dans lesquelles je me trouve misérablement. Toi qui es notre Vie, triomphe de la mort qui menace mon âme dans ces dangers où elle est exposée ; rends-moi la paix, la tranquillité, l’amour, la santé. Amen.
Salut, Reine…

III. – Le fait de savoir que tant ont été bénéficiaires de tes grâces,
uniquement parce qu’ils se sont adressés à toi avec foi, m’insuffle un nouvel élan et du courage pour t’invoquer en mon secours. Tu as déjà promis à saint Dominique que ceux qui demandent des grâces par ton Rosaire les obtiendront ; et moi, avec ton Rosaire en main, j’ose te rappeler, ô Mère, tes saintes promesses. En effet, toi-même, en nos jours, accomplis des prodiges continus pour appeler tes enfants à t’honorer dans le Temple de Pompéi. Tu veux donc essuyer nos larmes, soulager nos souffrances ! Et moi, avec le cœur sur les lèvres, je t’appelle et t’invoque : Maman ! Maman chérie ! Maman belle ! Maman douce, aide-moi ! Maman et Reine du Saint Rosaire de Pompéi, ne tarde plus à me tendre ta main puissante pour me sauver : car, comme tu vois, le retard me conduirait à la ruine.
Salut, Reine…

IV. – Et à qui d’autre puis-je m’adresser, si ce n’est à toi qui es le Soulagement des misérables, le Confort des abandonnés, la Consolation des affligés ?
Je t’avoue que mon âme est misérable : accablée par d’énormes fautes, elle mérite de brûler en enfer, indigne de recevoir des grâces ! Mais n’es-tu pas l’Espérance de ceux qui désespèrent, la Mère de Jésus, unique médiatrice entre l’homme et Dieu, notre puissante Avocate auprès du trône du Très-Haut, le Refuge des pécheurs ? Ô Maman, dis juste un mot en ma faveur à ton Fils, et Il t’écoutera. Demande-lui donc, ô Maman, cette grâce dont j’ai tant besoin. (Demande la grâce désirée). Toi seule peux me l’obtenir : Toi qui es ma seule espérance, ma consolation, ma douceur, toute ma vie. Ainsi j’espère. Amen.
Salut, Reine…

V. – Ô Vierge et Reine du Saint Rosaire,
Toi qui es la Fille du Père Céleste, la Mère du Fils divin, l’Épouse du Saint-Esprit ; Toi qui tout peux près de la Très-Sainte Trinité, il te faut m’obtenir cette grâce si nécessaire, à condition qu’elle ne soit pas un obstacle à mon salut éternel. (Répéter la grâce demandée). Je te la demande par ta Conception Immaculée, par ta divine Maternité, par tes joies, par tes douleurs, par tes triomphes. Je te la demande par le cœur de ton Jésus aimant, par ces neuf mois où tu l’as porté dans ton sein, par les épreuves de sa vie, par sa terrible passion, par sa mort sur la croix, par son très saint Nom, par son précieux Sang. Je te la demande enfin par ton cœur très doux, au Nom de ta gloire, ô Marie, étoile de la mer, Dame puissante, Mer de douleur, Porte du paradis et Mère de toute grâce. En toi je place ma confiance, de toi tout j’espère, tu dois me sauver. Amen.
Salut, Reine…

V. Reine du Saint Rosaire, prie pour nous.
R. Afin que nous devenions dignes des promesses du Christ.
Prière :
Ô Dieu, ton Fils unique, par sa vie, sa mort et sa résurrection, nous a acquis les biens du salut éternel : accorde-nous, en vénérant ces mystères dans le Saint Rosaire de la Vierge Marie, d’imiter ce qu’ils contiennent et d’obtenir ce qu’ils promettent. Par le Christ notre Seigneur.
Amen.

Prière à Saint Dominique et Sainte Catherine de Sienne pour obtenir des grâces de la Sainte Vierge de Pompéi :
Ô Saint Prêtre de Dieu et glorieux Patriarche Saint Dominique, toi qui fus l’ami, le fils bien-aimé et le confident de la céleste Reine, et que tant de prodiges opérés par le Rosaire, et toi, Sainte Catherine de Sienne, fille principale de cet Ordre du Rosaire et puissante médiatrice auprès du trône de Marie et du Cœur de Jésus, à qui tu as échangé ton cœur : vous, mes chers Saints, voyez mes besoins et ayez pitié de l’état dans lequel je me trouve. Vous avez eu sur terre un cœur ouvert à toutes les misères d’autrui et une main puissante pour les soulager : maintenant, au Ciel, ni votre charité, ni votre puissance n’ont diminué. Priez pour moi auprès de la Mère du Rosaire et du Fils Divin, car j’ai grande confiance qu’à travers vous, je pourrai obtenir la grâce que je désire tant. Amen.
Gloire au Père… (trois fois).